mercredi 28 juillet 2010

Etape Valencienne

- Du côté de chez Cécile, Line et Marc, on arrive avec encombre et moult retard car la ville est labyrinthique à souhait. Et puis, sitôt débarquée, c'est la quiétude du jardin, le crépuscule, le bain, et la soirée qui s'étire. Je me couche encore tard, mais ce n'est pas de ma faute. Les grands ont encore ce besoin irrépressible de bavarder jusqu'au petit matin, et je suis obligée de feindre l'étourdissement pour qu'ils abandonnent les palabres... Ah, c'est pas la panacée, d'être inintelligible, moi je vous dis !

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