Pour Maiya, le jeu est plus subtil : il s'agit de bien savoir doser comment accueillir la prochaine des poupées, d'un radical coup d'enclume, ou d'une accolade cajoleuse.
P'tite fête ce soir pour maman qui vient de faire un score plus qu'honorable sur une des étapes de son parcours professionnel. Bon, les filles, le parcours professionnel, ce sera pour plus tard, mmmh ?
La plage est toujours déserte, et le ciel toujours changeant.
Nous prenons encore ce matin le chemin sablonneux du petit déjeuner.
Peu de vagues, mais une brise marine qui souffle à nos oreilles : « Le large ! »
Cinq moments pris sur le vif, sur l'île de Con Dao où nous passons quelques jours devant la mer et les montagnes. Le bungalow loué pour l'occasion est si douillet que l'on s'y réfugie, sitôt dit !
Le temps passe, vite, lentement, et vite encore. L’après-midi s’étire et prend fin, et avec lui la réunion des copines et copains. On profite d'une dernière glace à table, avant de prendre le chemin du retour.
Nous y voilà ! Altitude : 1850m. Les névés nous attendent, tout comme les sommets de la vallée du Mont-Blanc. On ne boude point son plaisir de marcher sur la neige en été, et de faire la pose devant autant de bleu et de blanc.
Les Aiguilles Rouges, derrière, se découpent, minérales, dans l'azur. On se prépare, il va falloir monter. Enfin, se laisser monter en télécabine d'abord, parce qu'on a rendez-vous avec les névés, tout là-haut !
Ah, les fins de journée à Pierre Termier, alors que la cheminée siffle et chauffe, que les bûches crépitent, qu'une partie de tarot se termine et qu'un thé se prépare.
De quoi saisir l'instant, et tous ceux qui sont là.
Sieste de début d’après-midi, à l'ombre des sapins. Bourdonnement des insectes, sourd fracas du torrent, souffle du vent, et les nuages, là-haut, qui glissent sans bruit autour des sommets.
Au chalet Pierre Termier, parmi les herbes folles et les fleurs de montagne. On porte pull et manteau, et on regarde au loin les sommets des montagnes enneigées.
Un peu fatiguées de toutes ces émotions, on se laisse bercer par une télé en veilleuse. C'est sans compter sur Minka-coquine, qui voit ici un moyen de taquiner un peu...
Maiya, à l’entrée du parc, avise les oiseaux qui piaillent et cancanent sur la pelouse. Bravache, elle s'en amuse beaucoup, tandis que les pigeons et palmipèdes font mine de rien...
Minka, suspicieuse, se demande bien de quel animal il s'agit. Mmmh, des ailes, des pattes, un bec...